La Commission européenne propose que le Portugal dispose de 33,5 milliards d'euros d'ici 2034

La Commission européenne propose que le Portugal reçoive 33,5 milliards d'euros, notamment pour la cohésion et l'agriculture, dans le cadre du plan de partenariat national et régional du nouveau budget de l'Union européenne (UE) jusqu'en 2034.
Selon les données publiées à Bruxelles, l'allocation totale du nouveau cadre financier pluriannuel proposé pour le Portugal est de 33,5 milliards d'euros (aux prix courants), qui comprend une allocation générale de 31,6 milliards d'euros, 900 millions d'euros pour la migration, la sécurité et les affaires intérieures, et 900 millions d'euros supplémentaires pour les fonds sociaux et climatiques.
Ces fonds font partie des 865 milliards d’euros proposés par l’exécutif européen pour les investissements et les réformes dans les 27 États membres de l’UE, dans le cadre des 27 nouveaux plans de partenariat nationaux et régionaux (un par pays) avec des décaissements basés sur les objectifs atteints.
Ces plans couvrent la politique de cohésion, la politique sociale, la politique agricole commune, la politique maritime et de la pêche, la migration, la gestion des frontières et la sécurité intérieure.
Ils seront conçus et mis en œuvre en partenariat étroit entre la Commission européenne, les États membres, les régions, les communautés locales et les parties prenantes, selon la proposition.
Ce « gâteau » total (de 865 milliards d'euros) comprend 302 milliards d'euros pour soutenir les revenus des agriculteurs et la pêche et 218 milliards d'euros de fonds réservés aux régions les plus pauvres.
Chaque plan devrait allouer 14 % aux objectifs sociaux et 43 % au climat et à l’environnement.
Il existe également un mécanisme catalytique de 150 milliards d’euros de prêts aux États membres.
La création de tels plans a déjà été critiquée par le Parlement européen, qui rejette un pouvoir accru pour la Commission européenne dans le versement des fonds du budget de l’UE à chaque pays.
La Commission européenne a proposé mercredi un budget à long terme de l'UE jusqu'en 2034 de deux mille milliards d'euros, contre 1,2 mille milliards dans le cadre actuel, qui comprend davantage de contributions nationales et trois nouvelles taxes.
Après plusieurs heures de négociations entre commissaires européens, le premier paquet de propositions pour le prochain CFP 2028-2034 a été présenté à Bruxelles, avec une enveloppe totale de deux mille milliards d'euros d'engagements (à prix courants), sur la base de contributions nationales (basées sur le revenu national brut) de 1,26%.
Outre ces contributions nationales, les nouvelles recettes (ressources propres) comprennent une taxe spéciale sur la consommation de tabac, une ressource économique pour l'Europe, ainsi que des taxes sur les déchets électroniques et le commerce électronique. Ces taxes s'ajoutent aux deux taxes existantes sur les produits contenant du carbone importés et sur l'achat de droits d'émission.
On estime que, ensemble, ces nouvelles ressources propres et d’autres éléments du paquet de ressources propres généreront des recettes d’environ 58,5 milliards d’euros par an (aux prix courants).
La Commission européenne propose que le Portugal reçoive 33,5 milliards d'euros, notamment pour la cohésion et l'agriculture, dans le cadre du plan de partenariat national et régional du nouveau budget de l'Union européenne (UE) jusqu'en 2034.
Selon les données publiées à Bruxelles, l'allocation totale du nouveau cadre financier pluriannuel proposé pour le Portugal est de 33,5 milliards d'euros (aux prix courants), qui comprend une allocation générale de 31,6 milliards d'euros, 900 millions d'euros pour la migration, la sécurité et les affaires intérieures, et 900 millions d'euros supplémentaires pour les fonds sociaux et climatiques.
Ces fonds font partie des 865 milliards d’euros proposés par l’exécutif européen pour les investissements et les réformes dans les 27 États membres de l’UE, dans le cadre des 27 nouveaux plans de partenariat nationaux et régionaux (un par pays) avec des décaissements basés sur les objectifs atteints.
Ces plans couvrent la politique de cohésion, la politique sociale, la politique agricole commune, la politique maritime et de la pêche, la migration, la gestion des frontières et la sécurité intérieure.
Ils seront conçus et mis en œuvre en partenariat étroit entre la Commission européenne, les États membres, les régions, les communautés locales et les parties prenantes, selon la proposition.
Ce « gâteau » total (de 865 milliards d'euros) comprend 302 milliards d'euros pour soutenir les revenus des agriculteurs et la pêche et 218 milliards d'euros de fonds réservés aux régions les plus pauvres.
Chaque plan devrait allouer 14 % aux objectifs sociaux et 43 % au climat et à l’environnement.
Il existe également un mécanisme catalytique de 150 milliards d’euros de prêts aux États membres.
La création de tels plans a déjà été critiquée par le Parlement européen, qui rejette un pouvoir accru pour la Commission européenne dans le versement des fonds du budget de l’UE à chaque pays.
La Commission européenne a proposé mercredi un budget à long terme de l'UE jusqu'en 2034 de deux mille milliards d'euros, contre 1,2 mille milliards dans le cadre actuel, qui comprend davantage de contributions nationales et trois nouvelles taxes.
Après plusieurs heures de négociations entre commissaires européens, le premier paquet de propositions pour le prochain CFP 2028-2034 a été présenté à Bruxelles, avec une enveloppe totale de deux mille milliards d'euros d'engagements (à prix courants), sur la base de contributions nationales (basées sur le revenu national brut) de 1,26%.
Outre ces contributions nationales, les nouvelles recettes (ressources propres) comprennent une taxe spéciale sur la consommation de tabac, une ressource économique pour l'Europe, ainsi que des taxes sur les déchets électroniques et le commerce électronique. Ces taxes s'ajoutent aux deux taxes existantes sur les produits contenant du carbone importés et sur l'achat de droits d'émission.
On estime que, ensemble, ces nouvelles ressources propres et d’autres éléments du paquet de ressources propres généreront des recettes d’environ 58,5 milliards d’euros par an (aux prix courants).
La Commission européenne propose que le Portugal reçoive 33,5 milliards d'euros, notamment pour la cohésion et l'agriculture, dans le cadre du plan de partenariat national et régional du nouveau budget de l'Union européenne (UE) jusqu'en 2034.
Selon les données publiées à Bruxelles, l'allocation totale du nouveau cadre financier pluriannuel proposé pour le Portugal est de 33,5 milliards d'euros (aux prix courants), qui comprend une allocation générale de 31,6 milliards d'euros, 900 millions d'euros pour la migration, la sécurité et les affaires intérieures, et 900 millions d'euros supplémentaires pour les fonds sociaux et climatiques.
Ces fonds font partie des 865 milliards d’euros proposés par l’exécutif européen pour les investissements et les réformes dans les 27 États membres de l’UE, dans le cadre des 27 nouveaux plans de partenariat nationaux et régionaux (un par pays) avec des décaissements basés sur les objectifs atteints.
Ces plans couvrent la politique de cohésion, la politique sociale, la politique agricole commune, la politique maritime et de la pêche, la migration, la gestion des frontières et la sécurité intérieure.
Ils seront conçus et mis en œuvre en partenariat étroit entre la Commission européenne, les États membres, les régions, les communautés locales et les parties prenantes, selon la proposition.
Ce « gâteau » total (de 865 milliards d'euros) comprend 302 milliards d'euros pour soutenir les revenus des agriculteurs et la pêche et 218 milliards d'euros de fonds réservés aux régions les plus pauvres.
Chaque plan devrait allouer 14 % aux objectifs sociaux et 43 % au climat et à l’environnement.
Il existe également un mécanisme catalytique de 150 milliards d’euros de prêts aux États membres.
La création de tels plans a déjà été critiquée par le Parlement européen, qui rejette un pouvoir accru pour la Commission européenne dans le versement des fonds du budget de l’UE à chaque pays.
La Commission européenne a proposé mercredi un budget à long terme de l'UE jusqu'en 2034 de deux mille milliards d'euros, contre 1,2 mille milliards dans le cadre actuel, qui comprend davantage de contributions nationales et trois nouvelles taxes.
Après plusieurs heures de négociations entre commissaires européens, le premier paquet de propositions pour le prochain CFP 2028-2034 a été présenté à Bruxelles, avec une enveloppe totale de deux mille milliards d'euros d'engagements (à prix courants), sur la base de contributions nationales (basées sur le revenu national brut) de 1,26%.
Outre ces contributions nationales, les nouvelles recettes (ressources propres) comprennent une taxe spéciale sur la consommation de tabac, une ressource économique pour l'Europe, ainsi que des taxes sur les déchets électroniques et le commerce électronique. Ces taxes s'ajoutent aux deux taxes existantes sur les produits contenant du carbone importés et sur l'achat de droits d'émission.
On estime que, ensemble, ces nouvelles ressources propres et d’autres éléments du paquet de ressources propres généreront des recettes d’environ 58,5 milliards d’euros par an (aux prix courants).
Diario de Aveiro