Metz. Profession perruquière : « On ne soigne pas mais on accompagne »

Sorcha vit avec la maladie de Parkinson sans qu’on le devine. Quand on la croise rue Saint-Henri, cette dame élégante s’apprête à essayer un serre-tête créé spécialement pour elle. « Depuis mon opération, mon crâne est délicat », nous explique-t-elle en le découvrant doucement. « Je pense qu’il va vous plaire », la rassure Marguerite Clemente en lui montrant l’objet doté d’une jolie frange en cheveux naturels. « Des salons de coiffure de Metz m’en donnent. C’est une chance car cela coûte cher. Plus de 300 € les 50 grammes », dévoile la perruquière de métier à propos de cette matière précieuse à tout un chacun.
Perruques médicaliséesDans leur centre capillaire et de dermographie reconstructive, agréé par la Caisse primaire d’assurance...
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Le Républicain Lorrain